Podcast : F1 Grand Prix du Qatar 2025

Podcast : F1 Grand Prix du Qatar 2025

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Podcast : F1 Grand Prix du Qatar 2025
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Nouvelle victoire de Max Verstappen après l’erreur de Mclaren qui va coûter très cher à ses 2 pilotes !

Oscar Piastri avait pourtant réalisé le week-end parfait avec une double pôle position et une victoire en course sprint !

Seulement, voilà, au moment où la concurrence est rentrée aux stands, Mclaren choisit de laisser ses 2 pilotes en piste.

Lando Norris, plus en retrait aura limité la casse en terminant 4ème, mais voit revenir Verstappen à seulement 12 points et Piastri à 16.

Si Norris arrive à arracher la 4ème place, c’est grâce à une erreur d’Antonelli, Red Bull est-elle coupable du déferlement de haine qui s’en est suivi sur les réseaux sociaux ?

Hadjar confirmé pour 2026, peut-on voir des points positifs à ce second baquet maudit en f1 ?

Ferrari en perdition et Carlos Sainz qui rayonne, les week-ends se suivent et se ressemblent pour la Scuderia…

Désormais, tout se jouera à Abu Dhabi pour une finale du championnat du monde de F1 2025 pilotes dantesque !

Transcription complète de l’audio

Introduction

Madre mia ! Madre mia !

Mais quel grand prix on a vécu au Qatar, on ne s’y attendait pas.

Honnetement les McLaren qui donc avaient 24 points d’avance, Landon Norris quand même sur le duo Verstappen-Piastri puisqu’ils étaient, Verstappen était revenu à hauteur d’Oscar Piastri.

Les choses sont arrivées ce week-end.

Évidemment, la première, c’est le retour en force d’Oscar Piastri ce week-end qu’on n’a pas vu venir.

On l’avait enterré.

Que se passe-t-il ?

Oscar, au fond du fond, ça y est, nous sort justement l’inexplicable.

Il a sorti le week-end parfait.

Alors, il n’a pas été récompensé, mais il a sorti un week-end exceptionnel, l’Australien, de retour en grande forme.

Et puis, forcément, on va devoir parler de cette erreur stratégique.

Cette erreur, elle fait mal.

L’erreur, l’erreur, l’erreur.

Après la double disqualification qui était déjà une erreur d’équipe quand même, McLaren re-sanctionne ses pilotes et se dit « Tiens quand même, je trouve que Max ne revient pas assez sur nous, on va quand même lui redonner un petit joker. »

De Lando Norris après sa victoire ce week-end et en plus, en plus, grâce à la performance d’Oscar Piastri, Oscar Piastri se rapproche légèrement et est à 16 points du leader.

On va décortiquer évidemment cette décision folle et tout s’est joué évidemment au stand sur ce Grand Prix du Qatar où il est difficile de dépasser.

On va revenir sur sa décision parce qu’elle n’est pas si…

J’ai vu que c’était assez intransigeant sur cette prise de décision.

Je trouve qu’elle laisse plus de complexité que ça.

Je ne suis pas sûr que c’était une erreur si grossière, on va dire.

En tout cas, elle est pénalisante.

On va essayer de comprendre les dessous de cette décision et pourquoi elle a été prise et quelles sont les conséquences évidemment de…

de ce non-arrêt au stand.

Et puis, on va revenir sur l’annonce, l’annonce quand même, après le résultat de ce week-end d’Isaac Hadjar chez Red Bull.

On va revenir aussi chez Red Bull, malheureusement, sur les péripéties.

Helmut Marco, qui se permet de dire des choses qui ne sont pas tolérables envers Antonelli et qui ont entraîné…

de vrais problèmes,

et puis on va décortiquer évidemment la course pour revenir sur les belles performances, notamment notre Espagnol qui nous régale en cette deuxième partie de saison et qui est en train de littéralement exploser chez Williams, c’est Carlos Sainz, il rayonne qu’il est beau notre Carlos.

On décortique tout, on en parle, c’est enfin bon, bien sûr !

Mclaren se troue et offre un final de folie à Abu Dhabi !

Alors évidemment, pour commencer, avant d’arriver sur le fameux, celui qu’on a tous vu, ce moment où tout le monde rentre au stand sauf McLaren, on va revenir évidemment sur le retour en force d’Oscar Piastri.

Et ça, c’est quelque chose qu’on n’avait pas vu.

Dos au mur, donc, Oscar l’Australien qui est revenu en force ce week-end et qui est venu chercher ce petit dixième, cette petite performance en qualification en plus.

Et il était, sans cette erreur stratégique de McLaren, indétrônable.

L’Australien, tout simplement, il avait un super rythme.

Il a décroché la pôle assez facilement.

Et vraiment, il a été pas touchable.

Et ça fait plaisir de revoir l’Australien, revenir dans le game.

Moi, franchement, je l’ai dit, je l’avais expliqué, il avait complètement disparu de l’équation.

Parce qu’il subissait alors même s’il était un peu revenu en mode course en calife on l’a dit il avait complètement disparu des radars et là dos au mur on a l’impression que l’Australien bah en fait la pression elle s’est évaporée un peu on s’est dit bon bah en fait ça joue entre Max et Lando et je pense que le fait de peut-être d’extirper de retirer en tout cas cette pression là bah lui a peut-être ouvert des portes et ce week-end en tout cas on a retrouvé du grand Oscar Piastri.

Un Oscar Piastri qui est venu chercher 2-3 dixièmes de plus que Lando avec un petit George qui est venu s’immiscer bien sûr par-ci par-là pendant la course sprint.

Et puis il a été impérial parce qu’il y a eu course sprint et course normale et sur les deux il est venu décrocher la pôle impérial tout ce week-end.

Sur la course sprint, il est venu chercher cette pole position.

Sur un circuit du Qatar, il faut le dire, ce n’est pas possible de dépasser.

Après, on a eu une course assez procédurale, on va dire, du début à la fin.

Il reste un petit peu là où ils sont.

Et puis, il passe à la ligne d’arrivée.

Alors, on a eu un petit jeu parce que Max Verstappen, qui était qualifié seulement sixième sur la grille, devancé par Yuki Tsunoda, il faut le dire, c’était assez étonnant.

Évidemment s’est fait aider par son coéquipier et a réussi à passer Fernando Alonso mais une fois qu’il était à la quatrième place il n’y a plus grand chose à faire parce que devant lui il y a Norris il y a Russell il y a Piastri c’est des personnes qui ont un rythme assez similaire au sien en tout cas où le différentiel n’est pas assez énorme et au Qatar s’il n’y a pas plus d’une seconde d’écart en termes de rythme on ne peut pas dépasser.

Ce qui est assez dommageable, d’ailleurs Lewis Hamilton vient de la faire remarquer aussi en disant que c’est dommage quand même qu’on garde ce Grand Prix au calendrier parce qu’il n’y a aucun effort qui est fait en tout cas sur ce circuit pour permettre des dépassements.

Lewis en même temps, c’est vrai que toi tu es le principal concerné vu que tu pars en fond de grille actuellement tout le temps, c’est vrai que des dépassements tu en as besoin quoi.

Bon voilà en tout cas c’était une superbe performance, un retour en forme de l’Australien qui est venu donc marquer des gros points en course sprint et en course on a dit il repart en tête et là on se dit putain l’Australien il marque des gros points mais en plus Landon Norris il est juste derrière voilà et troisième en course sprint devancé très légèrement par George Russell il va venir sécuriser cette troisième place.

Il perd quelques points contre Oscar, mais ça reste raisonnable.

Et puis, en course normale, il va faire une petite erreur en qualif, l’anglais, qui va le priver de la pôle.

Pas super content de son tour, l’anglais.

Et puis, il va être deuxième, quand même, derrière l’Australien, donc plutôt bien.

Seulement, il va être sur la partie sale de la piste.

Et là, on va déjà passer à quelque chose d’intéressant puisque Max Verstappen, qui était sixième en course sprint, va affiner ses réglages et va se retrouver troisième.

Et là, on a la grille parfaite pour nous.

Oscar premier, Lando deuxième, Verstappen troisième et on va avoir un départ de folie.

Ce départ, on l’attendait, on l’a eu.

Après, il y a un schéma qui s’est passé qui était aussi assez lisible, on va avoir un départ plutôt moyen de Landon Norris et Max Verstappen va venir le passer et on va se retrouver avec 1, 2 et 3.

Assez logiquement, puisque la partie droite, la deuxième place, elle est sur la partie sale de la piste et donc tous ceux qui étaient en nombre pair finalement ont eu un départ un peu moins bien.

Mais ça, le problème, c’est que Lando, il le sait, quand il s’est qualifié pour la course et qu’il est deuxième, il est dégoûté parce qu’il sait que c’est son erreur, c’est sa faute et que ça va lui coûter cher parce qu’il sait qu’il est sur la partie sale de la piste au Qatar et que ça va le pénaliser pour le départ.

Il va probablement perdre cette deuxième place.

Ce qui s’est passé, donc on se retrouve avec un 1, 2 et 3.

Et puis la course se déroule et là, on va arriver sur le fait de course, forcément.

Et ce fait de course, c’est le septième tour.

Ce septième tour où on va avoir un accrochage entre Pierre Gasly et Nico Hülkenberg.

Et c’est ça qui est magique dans le sport auto.

C’est ça qui est magique dans le sport en général.

Mais là, en sport auto, il peut tout se passer.

Une erreur, que ce soit vous ou un autre pilote.

Et ça peut absolument tout changer.

Un abandon, une crevaison, un accrochage, tout changer.

Et là, on va avoir donc un accrochage entre Pierre Gasly et Nico Hülkenberg, mais pas à n’importe quel moment, pas à n’importe quel moment, au septième des 57e tours du Grand Prix du Qatar.

Sauf qu’au Grand Prix du Qatar, on l’a dit, Pirelli a conçu, a réalisé que ses pneus ne tenaient pas sur cette piste.

Par précaution, ils ont donc imposé des relais de 25 tours maximum sur un train de pneus.

Ça veut dire qu’on avait déjà deux arrêts au stand obligatoire prévus.

Et c’est ce qui va conditionner toute la stratégie de la course qui, au passage, sans cette intervention de voiture de sécurité, le Grand Prix aurait été soporifique.

On se serait fait chier comme jamais.

D’ailleurs, on ne s’est pas non plus transcendé pendant ce Grand Prix.

C’est toute l’histoire de McLaren qui va dynamiser cette erreur de McLaren qui va dynamiser ce Grand Prix.

Mais sans ça, il n’y avait rien.

Il n’y avait pas de dépassement, rien.

C’est procédural, tout le monde rentre au même moment.

Parce qu’évidemment, Pirelli, en imposant ses arrêts au stand à un maximum de 25 tours, tout le monde s’est littéralement arrêté au bout de 25 tours puisque les pneus ne s’effondrent pas vraiment.

Eux, ils ont l’impression que les pneus ne vont pas tenir.

Il y avait des problèmes avec évidemment les gravillons qui ont été mis sur les virages et qui pouvaient endommager les pneus, sur lesquels ils ont vu qu’il y avait des lacérations sur les pneus qui pouvaient conduire à des crevaisons.

Mais du coup, on se retrouve avec une même stratégie pour tout le monde.

Tout le monde a posé deux arrêts, donc tout le monde allait plus ou moins rentrer au 25e tour, puis au 50e pour aller mettre éventuellement des pneus tendres pour faire les derniers tours.

Donc on se serait fait chier.

Seulement, voilà, il y a cet accrochage, donc on le dit, entre Pierre Gasly et Nico Hülkenberg.

C’est important de mettre le contexte, évidemment.

Tout le monde va alors décider, avec l’arrivée de la voiture de sécurité au 7e des 57e tours, de rentrer au stand.

Pourquoi ?

Parce que ça veut dire que l’opportunité, la fenêtre est ouverte pour faire 2 x 25.

Et oui, et donc ça veut dire qu’il n’y a plus qu’un seul arrêt à faire après celui-là.

Et là, tout le monde va rentrer au stand, sauf McLaren.

Et cette erreur, McLaren va la traîner.

Elle va la traîner tout le Grand Prix parce que, bah, vu que tout le monde rentre au stand, Max Verstappen va littéralement gagner un pit stop gratuit.

Il va se retrouver en troisième position, donc juste derrière Norris.

Seulement, voilà, il se retrouve derrière Norris avec des pneus frais et lui a un arrêt au stand à faire en moins par rapport aux deux McLaren.

Et là, c’est terminé.

Les McLaren n’arriveront jamais à refaire leur retard.

Alors au début, elles vont quand même pousser sur ce premier stint vraiment à fond.

Et là, c’est intéressant parce que justement, on va voir les McLaren vraiment libérer leur plein potentiel sur ce premier relais.

On va voir l’écart qui se creuse parce que le but évidemment pour ces McLaren, c’est d’attaquer un maximum pour ressortir absolument, éviter le peloton.

Ce que…

parce que McLaren va réussir avec brio quand même, parce qu’Oscar Piastri va imposer un grand rythme, Lando Norris aussi, il va ressortir juste devant Fernando Alonso, donc devant lui, il n’y a plus que trois voitures, rendez-vous compte, il n’y a plus que Antonelli, Sainz et Max Verstappen, mais déjà quand ils ressortent les McLaren avec des pneus neufs, il n’y a pas un différentiel de fou, ils ne reviennent non plus pas comme des balles à coup de deux secondes, deux secondes et demie sur les adversaires.

C’est une seconde, une seconde et quelques.

Et c’est déjà très compliqué de doubler au Qatar.

Donc déjà, on se dit « Ah, ça pue. Ça pue. Je pense que la stratégie, elle ne fonctionnera pas. »

Même en mode full attaque, le problème, c’est qu’ils se retrouvent derrière quelqu’un.

Comment ils vont faire pour le dépasser ?

Et puis va venir ce deuxième arrêt au stand, je pense qu’on a déjà compris que Max Verstappen était intouchable parce qu’à la fin du deuxième relais il va revenir carrément après son dernier arrêt au stand, il va commencer à revenir sur l’andonnerie ce qui va être en difficulté en plus avec ses pneus.

Donc surprenant en fait, on attendait vraiment la McLaren par rapport aux essais, par rapport au rythme qu’elle a montré, beaucoup plus en forme on va dire.

Le dimanche de course, elle a beaucoup plus subi que ce qu’on pensait.

Et puis Landon Norris, Oscar Piastri va rentrer au stand.

Et voilà, Piastri ne peut que sécuriser la deuxième place.

Landon Norris va réussir à arracher, arracher tout juste cette quatrième place.

Mais c’est l’erreur, l’erreur évidemment qui va compter le plus, c’est cette erreur de rentrer au stand.

Je trouve que ça a été un peu facile de dire, mais personne ne comprend, alors la décision un petit peu des interviews à droite à gauche, que ce soit les directeurs d’écurie ou autres, mais je ne comprends pas la décision de McLaren, enfin tout le monde est rentré, ça nous semblait évident.

Ouais, mais la différence évidemment entre toutes les autres écuries et McLaren, c’est qu’ils ne sont pas du tout dans la même posture.

Il faut essayer de comprendre, à ce stade du Grand Prix, ils sont premiers, troisième, il y a Verstappen qui est deuxième.

On rappelle que les deux, c’est Oscar Piastri et Landon Norris, les deux jouent le championnat du monde contre Max Verstappen et que c’est Landon Norris qui est en tête de ce championnat pour l’instant.

Et c’est ce qui conditionne évidemment la prise de décision.

On est au septième tour et du coup la voiture de sécurité apparaît.

Qu’est-ce qu’on fait ?

Est-ce qu’on rentre les deux pilotes ?

Le problème c’est que si on rentre les deux pilotes, on a peur qu’en piste, Landon Norris n’arrive jamais à passer Max Verstappen.

Or le but c’est quand même que Max Verstappen puisse être dépassé par Landon Norris.

On sait que les McLaren elles ont un meilleur rythme intrinsèque que la Red Bull sur ce circuit.

Et là, le problème, c’est qu’on se dit, ok, dans ce cas-là, on laisse Lando Norris en piste, c’est le plus important.

Et l’avantage, c’est peut-être qu’en rentrant au stand, si Max Verstappen rentre au stand, mais que tout le monde ne rentre pas au stand, logiquement, si 3, 2, 3 voitures viennent s’intercaler entre Lando Norris et Max Verstappen, imaginons Fernando Alonso, comme on l’a vu, et qu’un train DRS se forme,

en fait, Max Verstappen, il va passer tout son premier relais, même avec son nouveau train de pneus, derrière ces pilotes-là, il va perdre beaucoup de temps par rapport au rythme des McLaren, qui vont creuser un écart suffisant et vont pouvoir, du coup, avec l’arrêt au stand, le repasser.

Un premier facteur déjà de décision, ça a été ça, et moi-même, j’ai été surpris, franchement, que tout le monde rentre au stand, tout le monde, sauf Esteban Ocon, qui, au passage, va rentrer au stand juste le tour d’après, donc…

Une prise de décision assez mauvaise d’ailleurs chez Alpine.

Tout le monde va prendre la décision de rentrer au stand, ce qui change complètement la donne.

Ça veut dire que du coup la stratégie potentielle de laisser Landon Norris en piste, elle est plus viable.

Parce que si tout le monde rentre au stand, Max Verstappen lui ressort juste derrière Landon Norris puisqu’il était deuxième.

Et donc du coup il ressort derrière Landon Norris avec des trains de pneus frais et en plus il a un arrêt en moins à faire.

Alors du coup, on se dit, ok, mais dans ce cas-là, si vous ne pouvez pas laisser Lando Norris rentrer, est-ce qu’on ne pouvait pas laisser rentrer Oscar Piastri ?

Parce que dans les interviews, il y avait la question de, et si on faisait une stratégie différente ?

Si au moins, les deux pilotes faisaient une stratégie décalée, c’est-à-dire l’un reste en piste, l’autre rentre au stand.

Mais en fait, McLaren, ils ne peuvent pas faire ça.

Parce qu’en fait, dans cette situation-là, il y a une des deux stratégies qui n’est absolument pas la bonne.

Et à ce stade-là, ils ne savent pas laquelle, parce que ça dépend du nombre de personnes qui vont rentrer au stand.

Si tout le monde rentre au stand, comme c’est ce qui s’est passé, c’est la personne qui va rentrer au stand qui va avoir un gain énorme.

Et si personne, si une partie des gens ne rentre pas au stand, c’est la personne qui rentre au stand qui va être pénalisée.

Sauf que le problème, c’est que le pilote qui fait rentrer au stand… ou pas.

C’est lui qui va être pénalisé et les deux pilotes jouent le championnat du monde.

Comment on va expliquer à l’autre pilote aujourd’hui ?

En fait, on a pris cette décision, c’était la meilleure et on a voulu splitter les stratégies.

McLaren ne peut pas faire ça aujourd’hui parce que les deux pilotes jouent le championnat du monde pilote.

Et à ce moment en plus du Grand Prix, c’est Oscar Piastri qui est devant.

Donc on ne peut pas en plus faire par exemple rentrer Lando et dire à Oscar, ah bah désolé on l’a fait rentrer Lando, tu comprends, surtout que les réseaux adorent raconter, les gens adorent raconter que McLaren favorise Norris, ce n’est pas spécialement le cas je trouve.

Mais c’est clair qu’on ne peut pas justifier de faire une stratégie séparée parce que les conditions ne le permettent pas actuellement dans le cas du championnat pilote et de la position des pilotes actuels de McLaren.

C’est simple.

Et donc, ce qu’il nous reste, la possibilité numéro 3, qui était de rentrer les deux pilotes au stand,

Ouais, et McLaren n’a pas fait ce choix pour une raison qui était, ok, ça fige les positions, mais on n’y gagne rien et on pense qu’on a le meilleur rythme.

Et honnêtement, moi, quand je les ai vus rester en piste, j’ai dit, c’est une stratégie qui peut être viable parce que je ne pensais pas que tout le monde rentrerait et aussi parce que j’imaginais que McLaren aurait un meilleur rythme.

Mais c’est aussi un indice en trompe-l’œil parce qu’on a eu un week-end tronqué, on l’a dit, il y a eu une course sprint.

Et je pense qu’honnêtement, par rapport à la course sprint, je pensais vraiment que McLaren avait un meilleur rythme sape que par rapport à Red Bull.

Et je pense qu’elle a perdu un peu de ce rythme ou en tout cas une partie de…

Des top teams ont refait un peu de leur retard sur ce rythme-là le dimanche.

Mais comme je l’ai dit, en plus, on est au Qatar.

Et bon, il y a un truc qui est super chiant, surtout, c’est qu’il est impossible de dépasser.

À partir du moment où ces décisions ont été prises, en fait, McLaren a ramassé les pots cassés, que ce soit Oscar Piastri ou Lando Norris.

Oscar Piastri a pu avoir un rythme légèrement supérieur.

Franchement, il était intouchable ce week-end.

Il aurait dû gagner l’Australien, ça c’est sûr à 100%.

Il a été privé cette victoire par cette prise de décision de McLaren et puis il finit deuxième, Landon Norris il va finir quatrième grâce à une petite erreur à la fin de Antonelli et ça on va la décortiquer ce qui fait que ce qui fait que désormais notre trio infernal se pointe donc avec un Landon Norris qui arrive sur le final avec 12 points, 12 petits points d’avance sur Max Verstappen qui récolte vraiment gratuitement cette victoire au Qatar et Oscar Piastri qui finit à 16 points donc de Landon Norris on a donc trois

trois contenders, trois compétiteurs qui vont jouer la finale du championnat pilote cette année.

C’est extraordinaire.

C’est une aparté que je fais, mais c’est extraordinaire, bien sûr, parce qu’on n’a pas vu ça depuis 2010.

Moi, je me rappelle qu’en 2010, l’une des meilleures saisons, d’ailleurs, c’était extraordinaire.

On avait Jenson Button en bataille avec Lewis Hamilton, Mark Webber, Sébastien Vettel et Fernando Alonso.

On avait trois écuries en plus.

On avait McLaren, Red Bull…

Ferrari, c’était une année formidable où on a eu des vainqueurs différents à tous les grands prix.

Il y avait du suspense vraiment à tous les niveaux en 2010 avec la victoire évidemment finale de Vettel sur une erreur de Ferrari à Abu Dhabi.

Mais c’est rare en fait, c’est rare d’avoir plus de deux pilotes, déjà c’est rare d’avoir deux pilotes qui jouent le championnat du monde pilote au dernier Grand Prix, puisque la dernière fois que c’est arrivé, vous le savez, c’est en 2021, et je crois qu’on n’est pas prêts d’oublier ce qui s’est passé, mais là en plus on en a trois, donc c’est un pur moment de plaisir, et il faut se régaler dimanche, c’est à 14h.

Red Bull un cas complexe : l’affaire Antonelli et l’annonce Hadjar

Bon, vous savez, la Formule 1, c’est toujours des dramas, des potins, des machins.

Mais bon, rarement, on vient commenter un petit peu l’actualité, ce type d’actualité, parce qu’il y en a toujours un petit peu.

Mais là, on va quand même prendre un peu le temps d’en discuter.

C’est évidemment le sujet Red Bull en général.

On va décortiquer un peu, parce qu’il y a eu beaucoup de choses sur Red Bull, même que ça reste à peine.

On a évidemment l’arrivée d’Isaac Hadjar.

Et on va commencer tout de suite par le point négatif, évidemment.

C’est les… les critiques sur Kimi Antonelli.

Alors qu’est-ce qui se passe pendant le Grand Prix ?

On l’a décortiqué, le Grand Prix se passe, il y a cette intervention de voiture de sécurité, tout le monde passe sur une stratégie à deux arrêts, sauf les McLaren qui sont donc contraintes de passer sur des arrêts au stand beaucoup plus long.

Et puis derrière, on va assister au retour en fin de Grand Prix sur Landon Norris, qui est cinquième seulement évidemment, parce qu’il subit cet arrêt au stand en moins.

Dépassé par Max Verstappen, on l’a dit, mais aussi par Carlos Sainz et Kimi Antonelli.

Il va revenir avec ses pneus neufs sur Kimi Antonelli.

Et là, Kimi Antonelli va faire une petite erreur.

Pneus usés, fin de Grand Prix, il reste à peine quelques tours.

Je me demande si ce n’est pas les deux derniers tours.

Et là, il va partir à la faute et il va laisser passer Orlando Norris.

Qu’est-ce qui va se passer ?

Là, Red Bull va dire une phrase déjà absurde à Kimi Antonelli : « il laisse passer Norris, il le fait exprès pour lui laisser des points ».

Déjà, Kimi Antonelli, il s’entend très bien avec Max Verstappen, alors qu’est-ce qu’il y gagne à laisser passer Lando Norris ?

Ça n’a pas de sens.

Ensuite, pourquoi Mercedes ferait ça, à part nous sortir le complot de 2021 ?

Il est encore sous la gorge, franchement, ça n’a pas de sens.

Et puis on a l’onboard quand même qui montre, qui met Anthony partir à la faute en fait réellement, qui a un petit décrochage du coup dans le virage.

Alors qu’à chaud, l’ingénieur de Max Verstappen se permet de dire ça ?

Bon, pourquoi pas ?

À chaud, ensuite à froid, il se rend compte de sa connerie, puis voilà quoi, il se repent.

Mais franchement, Helmut Marko, à froid, qui post-Grand Prix, reprend ça et dit « Kimi Antonelli, il laisse passer du coup Orlando Norris et lui donne des points gratuitement », c’est aberrant quand même.

Alors évidemment, qu’est-ce qui s’est passé ?

Bon, il y a eu une vague d’insultes sur les réseaux.

Kimi Antonelli, lui, il est passé en off réseau.

Et Red Bull a dû présenter ses excuses.

C’est encore une image déplorable pour la marque.

C’est fou comme, malgré le fait de performer autant…

D’avoir su, en fait, créer la légende, su accompagner et donner autant au sport auto, parce que c’est ce qu’ils font, le Red Bull, c’est formidable ce qu’ils ont fait, pu créer cette machine de guerre qui est Max Verstappen, l’accompagner et puis vraiment se donner à fond dans la compétition, à quel point ils ont une image déplorable par ce genre d’action.

En permanence, d’abord évidemment par le saccage du numéro 2, et puis où ce genre de frasques d’Helmut Marko, franchement, je crois qu’Helmut Marko, il est peut-être temps aussi qu’il s’en aille, en fait, lui aussi, il a fait son temps, je pense, chez Red Bull, et ça serait pas mal que maintenant il s’en aille plutôt que de dire des idioties dans ce genre-là.

Néanmoins, c’est vrai que c’est un point important.

Cette petite place qui a été cédée à Lando Norris, elle est cruciale.

Pourquoi ?

Parce que Lando Norris, en passant Kimi Antonelli, il s’est fait un petit bol d’air, il s’est accordé ces deux petits points en plus qui lui permettent à Abu Dhabi d’être champion du monde s’il est dans le top 3.

Autrement, au-delà du top 3, il aurait été en difficulté, même troisième, si Max Verstappen avait remporté le grand prix, parce que ça se jouerait du coup… au nombre de victoires.

Et Max en a autant maintenant.

Mais là, il s’est donné un bol d’air.

Il a ses deux petits points en plus.

Ce qui fait qu’il finit dans le top 3.

Il est automatiquement champion.

Donc, il a les cartes dans les mains, Lando Norris.

Enfin bon, il les avait aussi au Qatar.

Vous allez me dire.

On va revenir sur un deuxième point, évidemment, de Red Bull.

Puisque là, c’est le sujet Red Bull.

C’est d’abord Max Verstappen.

Vraiment, quelle saison ?

Quelle deuxième partie de saison ?

Parce que la première a été plutôt très bonne.

C’est vrai qu’il y a eu le bémol de l’Espagne et quelques autres, mais la deuxième partie de saison, elle est monstrueuse, franchement, de Red Bull, là.

Max Verstappen a été sur le podium sur la totalité des Grands Prix depuis le Grand Prix de Hongrie, qui avait été une catastrophe.

Où il avait terminé 9ème, je crois, englué dans le trafic, évidemment, et là, il est dans le top 3, et le nombre de victoires hallucinant sur sa deuxième partie de saison, je crois que c’est 5 victoires, c’est énorme, il n’y a pas photo.

Ils sont en train de faire un travail absolument formidable au point de vue performance, Red Bull, vraiment.

Ils ont amené, voilà, ça y est, on a Max vraiment 2.0 sur sa deuxième partie de saison, et c’est ce qui lui permet de revenir au championnat, là, vraiment, c’est incroyable.

Après, voilà, encore une fois, j’aimerais mesurer une chose.

C’est ces petites phrases, ces petites choses qui me dérangent plus chez Red Bull.

On l’a dit, c’est les phrases d’Helmut Marko.

C’est la phrase de Max Verstappen qui n’est pas forcément nécessaire, où il dit : « Moi, en fait, je serai chez McLaren, ça fait bien longtemps que j’aurais gagné, que le titre serait plié. »

Parce qu’en fait, l’environnement de McLaren, actuellement, ce n’est pas du tout le même que celui de Red Bull.

Et ça, c’est quelque chose qui est unique en Formule 1.

Actuellement, Red Bull est la seule écurie qui amène des améliorations uniquement pour son pilote numéro 1, qui fait tourner parfois son pilote numéro 2 dans des qualifs pour faire des séances d’essai, pour tester des réglages pour son pilote numéro 1.

Tu es orienté sur Max Verstappen.

Or, il n’y a aucune écurie qui fait ça.

Aucune.

Chez Ferrari, c’est l’écurie qui prime.

Chez McLaren, on l’a vu, on essaie de garder cette équité, et c’est l’écurie qui prime.

Chez Mercedes, je ne pense pas.

Actuellement, on ne défavorise pas Kim et Anthony, parce qu’on le voit comme un avenir.

Je veux dire, dans les top teams actuellement, personne ne fait ça.

Donc, je ne suis pas d’accord, parce qu’en fait, recréer cet environnement-là, c’est beaucoup plus compliqué que ce qu’il pense, Max Verstappen.

Et s’il changeait d’écurie, je pense que ça l’aiderait pas mal à revoir cette position, qui pour moi est une erreur de langage, un peu, malheureusement, de l’ego surdimensionné, dont il n’a pas besoin, parce qu’il est un pilote extraordinaire et un monstre en piste.

Voilà, bon, c’était une aparté, évidemment, sur Red Bull.

On va arriver sur le dernier point Red Bull, parce que là, c’est le gros sujet Red Bull qui anime évidemment cette fin de saison.

C’est l’annonce de notre français Isaac Hadjar, mérité, évidemment, c’est pas une surprise, on le savait.

Mais évidemment, on va, si c’est une bonne nouvelle pour Isaac, c’est aussi une mauvaise nouvelle pour Yuki Tsunoda, vous l’aurez compris.

Donc, Isaac Hadjar qui est confirmé chez Red Bull en tant que pilote.

Donc, second baquet avec Max Verstappen l’année prochaine.

Bon, Yuki, l’histoire est terminée.

Et ça, c’est quand même très dommage, parce que Yuki avait montré quand même de très belles choses chez Racing Bull.

Et c’est pour ça qu’il est monté.

Et puis surtout, on a l’impression que c’est dans la lignée de tous les autres pilotes qui sont venus.

On a quand même eu Albon, on a eu Perez, on a eu Lawson, on a eu Gasly.

Maintenant, on a Tsunoda.

Tous ces pilotes se sont cassés les dents sur le second baquet.

Et ce sont qu’à laisser les dents, bien, vraiment, toutes les 32 dents, comme on dit, toutes les gencives y sont passées avec.

Et vraiment, on est obligé de se questionner, évidemment, sur son combat et la validité qu’il aura pour Isaac Hadjar.

Alors, les lueurs d’espoir qu’on a quand même pour l’année prochaine, parce que ça fait peur, ce baquet, ça, c’est sûr.

C’est le pire baquet en Formule 1 qu’on puisse nous offrir dans une top team, ça, c’est sûr.

Le problème, évidemment, les petites lueurs d’espoir qu’on peut avoir pour l’année prochaine, c’est d’abord qu’Isaac Hadjar, il n’arrive pas avec le même statut que les autres.

D’abord, Helmut Marko est fan, Red Bull voit en lui le futur de Red Bull.

Ce qui n’était pas le cas de Dawson, ce qui n’était pas le cas de Pierre Gasly, de Perez, etc.

C’était vraiment un second pilote à côté de Max Verstappen.

Là, Isaac Hadjar, il y a comme but quand même de le garder, parce que déjà, on ne sait pas si Max Verstappen, il va continuer.

Max Verstappen l’a toujours dit, il a dit : « Moi, je reste en F1, mais mon but, ce n’est pas d’aller à la chasse au record.

Moi, quand ça me saoule de conduire, quand j’aurai fait le tour, j’arrête, point. »

Donc, déjà, rien que dans le mindset, rendez-vous compte, à tout moment, ils peuvent perdre Max Verstappen.

Et du coup, à ce moment-là, il faut quelqu’un en backup et quelqu’un sur qui ils ont placé leurs billes.

Et Isaac Hadjar, il fait une super saison cette année, et ils y croient, en fait.

Pour eux, c’est le petit surnom, c’est le Alain Prost, quoi.

Il est méthodique, il prend du temps, il fait des calculs dans la course.

Et oui, force est de constater que cette année, il a fait une rookie saison très bonne.

Encore une fois, il a fini dans les points, d’ailleurs, ce week-end.

Et là, on va revenir sur le deuxième point positif qui est important.

C’est que l’année prochaine, on passe en nouvelle réglementation en 2026.

Du coup, nouvelles voitures qui ne sont pas à effet de sol, nouvelle manière d’appréhender la voiture.

Et peut-être que, du coup, on aura plus de flexibilité à ce niveau-là, parce qu’on n’a pas forcément des réglages directs imposés pro Verstappen, puisqu’on sait que ça fonctionne sur cette voiture, etc.

Donc, comme la Red Bull va chercher à minima, je pense que la première année peut bien se passer.

Mais évidemment, la peur, c’est que Max Verstappen, qui est quand même un… un pilote exceptionnel, vienne un peu malmener, on va dire, le Français, et que, petit à petit, bah…

S’il joue le titre ou autre, Red Bull commence à orienter ses développements et ses réglages uniquement sur Max.

Et là, on va voir un écart se porter entre les deux.

Mais parce qu’on l’a déjà vécu.

En fait, on l’a vécu avec tous les pilotes que j’ai cités avant.

Donc, je ne vois pas pourquoi Isaac Hadjar, malheureusement, pourrait échapper à la règle.

Donc, ça, c’est la peur quand même.

Bon, voilà.

Isaac, tu as, en même temps, une promotion exceptionnelle, et en même temps, la moitié des mecs qui sont passés par ton baquet ont dégagé de la F1.

Donc, bonne chance.

Force à toi.

Ferrari continue sa descente aux enfers, Williams récompensée !

Pour terminer et sur ce Grand Prix, forcément décortiquer un petit peu les points.

Parce qu’on l’a dit, on est toujours évidemment obsédé par le monde de notre trio championnat pilote.

On va revenir sur les performances.

Kimi Antonelli quand même et George Russell, les Mercedes qui ont vraiment distancé les Ferrari qui sont à la ramasse complète.

Probablement le pire week-end de la saison pour la Scuderia qui est en perdition, mon Dieu !

Comment cette fin de saison, ce dernier tiers de fin de saison a pu aussi mal se passer pour la Scuderia ?

Entre les petits accrochages qu’elle a subis par malchance et l’effondrement de Lewis Hamilton, mais ce week-end, c’est l’effondrement de la performance de la Scuderia tout simplement ?

Et malheureusement, ce qui était une saison plutôt moyenne mais correcte, surtout si Ferrari allait terminer deuxième, ce que je pensais sincèrement, est en train de se transformer en plutôt une mauvaise saison quand même, puisque Ferrari est en train de finir quatrième.

Surtout, les deux pilotes ont moins de points que Max Verstappen.

C’est-à-dire Lewis Hamilton et Charles Leclerc combiné.

C’est dramatique.

Et Lewis Hamilton il est aux abois, bon ça voilà encore une fois éliminé en Q1 c’est dramatique, et non mais le pire c’est évidemment qu’on voit Charles Leclerc qui se qualifie 9ème, on a bien compris que dans ces cas-là déjà c’est la cata quoi.

Une voiture inconduisible ce week-end, Ferrari a été complètement larguée.

Vivement 2026, on espère évidemment qu’ils vont finir sur une bonne note sur Abu Dhabi parce que là il faut tourner la page et il faut tourner la page vite en espérant bien sûr qu’ils aient projeté un maximum de développement sur l’année 2026, qu’ils aient complètement abandonné dès 2025 dès qu’ils ont compris que leur concept n’était pas gagnant et qu’ils reviennent en forme l’année prochaine parce que là c’était la cata.

Et puis, Mercedes, donc, on l’a dit, très en forme.

Kimi Antonelli, encore en forme, malgré cette petite erreur, on l’a dit.

Et encore une fois, Carlos Sainz.

Un nouveau podium.

Deux podiums pour Carlos Sainz cette saison.

Mais c’est incroyable, franchement, chez Williams.

C’est deux de plus que Lewis.

Bah oui, on est obligé de faire la vanne.

Je suis désolé, le comparatif est fait mal, mais…

Mais voilà, franchement une superbe fin de saison pour Carlos Sainz, c’est un régal de le voir d’abord performer comme ça et puis de se sentir aussi épanoui chez Williams, une superbe écurie qu’on a envie de revoir petit à petit dans les top teams.

Et c’est je crois depuis 2017 la meilleure position en championnat constructeur pour Williams, qui vient de sécuriser sa 5ème place.

Et qu’on espère évidemment revenir de plus en plus vers les top 10, parce que c’est une écurie dont on est habitué dans le passé, qui a une histoire dans la F1 de domination, et on aimerait beaucoup la revoir aux avant-postes.

Conclusion

Allez, dernier grand prix de la saison.

C’est le final à ne pas manquer.

Tu es fan ou pas de Formule 1, tu suis ou pas la Formule 1, tu ne peux pas louper ce dernier grand prix de la saison.

Pourquoi ?

Parce qu’il y a trois pilotes qui vont jouer le championnat du monde, rends-toi compte.

Ça n’arrive pas souvent, on l’a dit, en 2021, lorsqu’on avait la compétition entre Lewis et Max Verstappen pour la dernière fois.

Et surtout, 2010, comme je vous l’ai raconté, pour qu’il y ait plus de deux compétiteurs qui jouent le titre.

Donc ça fait extrêmement longtemps.

Donc là, il faut se régaler de ce moment.

Ça va être une pression de folie pour McLaren.

Max Verstappen, il va tout donner, le couteau entre les dents.

Capable de tout.

Si des voitures de sécurité arrivent, on ne sait jamais.

Il n’y a plus Michael Masi aux commandes.

Donc normalement, on ne devrait pas avoir des aberrations type 2021.

Normalement, on espère assister quand même à une finale juste où le pilote le meilleur sera récompensé.

Allez, moi, je mets une petite pièce sur Lando Norris, pour lequel j’avais mis une petite pièce déjà à la mi-saison.

Mais bon, je ne me fous le pas en même temps, puisqu’il a plus de chances d’être champion.

Mais c’est bien de se prononcer en fin de saison.

Comme ça, au moins, je termine de mouiller le maillot.

Mais les vrais savent que j’avais déjà annoncé Lando champion.

Eh bien, on verra tout ça.

En tout cas, on va se régaler.

Et ça sera, bien sûr, à Abu Dhabi pour le final.

Et ça sera avec Enfinbon.

Bien sûr !

El mago

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